Au nom de la solidarité nationale, c’est le principe du consentement présumé qui a été choisi. Nous sommes donc tous donneurs d’organes et de tissus, sauf si nous avons exprimé de notre vivant notre refus d’être prélevé.
Mais en réalité, ce n’est pas vraiment comme ça que ça se passe… Les équipes médicales gèrent la douleur des familles, elles demandent ce qu’était le souhait du défunt.
La réponse est trop souvent la même : « Nous n’en avions jamais parlé, nous ne connaissons pas son souhait donc dans le doute, nous préférons refuser ».
La problématique repose uniquement sur un manque de communication…
En France, il n’existe pas de registre du OUI, donc parlons de cette cause… Parce qu’un mot, un geste peuvent changer une vie, dites-le à vos proches !
MENTIONS LÉGALES | CRÉATION : SYMAPS ATLANTIQUE